Des scientifiques alertent sur une sixième extinction de masse

Des scientifiques se sont inquiétés, dans een recent artikel gepubliceerd door Biological Reviews, de plaats van de “zestien uitstervende massa op het terrein en dans les eaux douces”, de plus en plus waarschijnlijke selon eux.

«Nous considerons que la sixième extinction de masse a probablement Beginnen», relève une équipe de chercheurs dirigée door Robert Cowie, professor bij Pacific Biosciences Research Centre de l’université d’Hawaï.

«Le nier serait tout simplement aller à l’encontre de la montagne de données qui s’accumulent», soulignent les scientifiques, parmi lesquels deux Français, les biologen Philippe Bouchet en Benoît Fontaine, tous deuxire sus’ du Muséum national Paris.

Er zijn vijf uitstervingsgebeurtenissen geweest in de geschiedenis van de aarde. Kan menselijke activiteit leiden tot een zesde? http://t.co/CZenbgfUdk pic.twitter.com/evWmUGhWm2

— Bill Gates (@BillGates) 29 juli 2014

«Il ya eu cinq extinctions de masse dans l’histoire de la planète. L’activité humaine pourrait-elle conduire à la sixième ?», commentaar op de milliardaire filantrope Bill Gates in 2014. Oui, pour l’équipe de Cowie : «Iedereen plus de place pour le scepticisme, ni de temps pour se demander si c’est réellement en train d’arriver.»

De biodiversiteit in gevaar

Cinq extincties de massale se sont déjà produites sur Terre au cours des dernières 450 millions d’années, détruisant 75% des espèces en un laps de temps restreint.

Een eerste deel van de analyse van de zes soorten uitsterven op de weg naar de gevolgen van de menselijke activiteit op de weekdieren: «les mammifères et les oiseaux des reps ne sontrésviennent», présult global extinction» les chercheurs.

«Toutes les estimations réalisées indiquent un taux d’extinction actuel beaucoup plus élevé que par le passé», alert-ils. Het debuut van het 16e siècle, de menselijke aurait en het resultaat van de disparition de 7,5 à 13% des espèces.

«Cette attitude de laisser-faire face à la crise actuelle est immorale», indringende toegift les chercheurs dans l’article. «Ce désastre ne pourra pas se terminer de façon positive.»

Face à ce défi de taille, il faudrait au moins, disent-ils, «rassembler», dans des muséesces spécimens en voie d’extinction: “dans 200, 300 of 500 ans, les gens pourront venir bewonderaar ce qui vivait sur notre Terre.”