L’Homme een diversifié ses proies au cours du dernier maximale glaciaire, il ya 23.000 ans

Quels furent les régimes alimentaires les habitudes de chasse de Sapiens au Pleistoceen ? Cette question is trouver des réponses dans les analyses isotopiques des restes hummains, dans les patrons d’usure des dents mais également, et de façon plus intuïtief, dans le registre archéozoologique. Het is een bewijs van wetenschappelijke kennis van de geschiedenis van de geschiedenis van de geschiedenis van het Pleistocène (-2,58 miljoen d’années à -11.700 ans) au Proche-Orient het type de proies niet wijzigen. Les grandes proies qu’ils chassaient auparavant telles que les daims ont en effet été remplacées par de plus petites et plus difficiles à atteindre telles que des gazelles.

Het wijzigen van een été accompagnée par une diversification du régime alimentaire qui a été expliquée par deux hypothèses tegenposées. De première van een gegarandeerde exploitatie van middelen en een tornooi van nieuwe aliments tandis que la tweede stipule au contraire qu’une augmentation de l’abondance des middelen en verantwoordelijk voor de wijziging van de middelen.

Les indices bevestigen de eerste hypothèse seraient, par voorbeeld, een dominantie van gazelles parmi les proies ainsi qu’une mobilité accrue des populaties humaines. La tweede hypothèse serait en revanche confortée par l’exploitation de plusieurs bijzondere de proies et des plantes ainsi qu’une faible mobilité des populaties humaines.

Un regime alimentaire varié

De site archéologique d’Ohalo II ligt op 2.000 meter carrés en een été découvert in 1989 en Israël. Il se trouve à la pointe sud du lac de Tibériade (égallement appelé mer de Galilea), à neuf kilometres au sud de la ville de Tibériade. Lors du dernier maximale gletsjeril ya 23.000 ans, de site d’Ohalo II is een eté inondé en recouvert door des sedimenten fins, ce qui a permis une excellente préservation de l’environnement.

Celui-ci recèle notamment zes hutten ovales, des foyers à ciel ouvert, ainsi que la tombe d’un homme adulte. La présence de nombreux restes organiques et anorganiques, datums op carbone 14 tussen 22.500 en 23.500 ans en arrière, permet à des archeologen de réévaluer la raison pour laquelle ces pêcheurs-chasseurs-cueilleurs ont diversifié leur alimentation au cours du dernier maximale glaciaire. Les résultats de leur étude on été publiés dans le logboek PLoS ONE.

Les auteurs rapporten op de presence op de site van de uitvoer en de pierre pour faire du feu ainsi que pour débiter des carcasses, des restes de mammifèresd’oiseaux et de vergiften (menés, carpes et tilapia’s). Les restes de cordes et de pierres suggèrent que la pêche avec des filets était pratiquee dans ce campement. De grandes quantités de grains d’amidonnier et d’orge sauvages ainsi que d’avoine à grosses graines étaient entreposées à proximité d’une pierre destinée à les moudre.

Les auteurs expliquent que les oscillations du klimaat au cours du dernier maximum glaciaire dans la vallée du Jourdain op eu peu d’impact sur l’Homme, qui een pu diversifier ses middelen trophiques. La chase, la pêche et la cueillette pour la nourriture étaient complétées par de jacht de martelingen pour leur carapace et de lièvres et renards pour leur peau.