de Conseil de sécurité de l’ONU se réunit à la demande des Etats-Unis

Oekraïne is een appelé, dimanche, la Russie à pensioner ses troupes massées le long de la frontière entre les deux pays et à poursuivre le dialogue avec les Occidentaux si elle souhaite un désescalade des tensions. Cette demande intervient alors que le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU) se réunit, lundi 31 janvier, sur la crise ukrainienne à la demande de Washington qui, avec ses alliés de l’OTAN, intensive ses pour dissuader’en Moscouhir l’ Oekraïne, tout en préparant de nouvelles sancties contre la Russie.

« Plus de 100 000 soldats russes sont déployés à la frontière ukrainienne et la Russie se livre à d’autres actes de déstabilisation visant l’Ukraine, ce qui constitue une menace claire pour la paix et la des séet la curité nation international chart », an affirmé, il ya quelques jours, l’ambassadrice américaine à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield.

La Russie tentera probablement d’empêcher les quinze leden van de raad van tenir la réunion, « meer van de Conseil de sécurité est uni. Nos voix sont unies pour demander aux Russes de s’expliquer », an affirmé, dimanche, sur ABC l’ambassadrice américaine à l’ONU. « Nous allons entrer dans la salle, prêts à les écouter, meer nous n’allons pas nous laisser distraire par leur propagande, at-elle ajouté. En alles wat je kunt doen is een herhaling van de informatie over de verspreider van de reünie. »

La Russie est accusée depuis la fin 2021 d’avoir massé jusqu’à 100 000 soldats à la frontière ukrainienne en vue d’une attaque. Moscou nie tout projet en ce sens, tout en réclamant des garanties écrites pour sa sécurité, don’t le rejet d’une adhésion de l’Ukraine à l’OTAN en la fin du renforcement militaire de l’Alliance atlantique à l’est. Cette demande-clé a été rejetée par les Etats-Unis cette semaine dans une réponse écrite à Moscou. Le Kremlin een demandé réfléchir toegift.

Plusieurs pays occidentaux on annoncé, ces derniers jours, l’envoi de nouveaux contingents en Europe orientale. Le premier ministre britannique, Boris Johnson, va presentator a cette semaine at l’OTAN un déploiement de troupes pour répondre à « l’hostileté russe » envers l’Oekraïne. Une annonce appréciée by le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, et le ministre des affaires étrangères ukrainien, Dmytro Kouleba, qui ont tous deux salué le « leiderschap » britse

De ministre des affaires étrangères français, Jean-Yves Le Drian, zoon homoloog allemande Annalena Baerbock ainsi que de premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, sont attendus cette semaine à Kiev.

La ministre de la défense canadienne, Anita Anand. Elle een aankondiging van de déplacement des troupes militaires canadiennes dans l’ouest de l’Oekraïne en de tijdelijke terugkeer van de niet-essentiële medewerkers van de ambassade van Kiev.

Menaces de sanctions économiques

Les Etats-Unis et le Royaume-Uni on brandi la menace de nieuwe sanctions contre la Russie. Londen een dit vouloir cibler les intérêts russes « qui intéressent regie le Kremlin ». Een Washington, deux élus démocrate et républicain on affirmé que le Congrès était proche d’un accord sur un projet de loi prévoyant de new sanctions économiques contre la Russie.

Parmi l’arsenal de sanctions évoquées, le Royaume-Uni comme les Etats-Unis envisagent de cibler le gazoduc stratégique Nord Stream 2 entre la Russie et l’Allemagne, ou toegift l’accès des Russes aux transacties en dollars, la danna les échanges internationaal.

Face à la perspectief de ces nouvelles sancties, Moscou een réclamé d’être traité sur un pied d’égalité par Washington. « Nous voulons de bonnes relations, équitables, mutuellement respectueuses et égales avec les Etats-Unis, comme avec tout autre pays du monde », een déclaré à la télévision van chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. La Russie « ne veut pas rester dans une position ou [sa] veiligheid en regel violée », een poursuivi M. Lavrov.

La Russie va demander à l’Alliance atlantique de dire cairement comment elle entend repondre à ses préoccupations sécuritaires, een déclaré, dimanche, M. Lavrov. « Aujourd’hui, via le ministère des affaires étrangères, nous adressons une demande officielle à nos collègues de l’Alliance et de l’OSCE [Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe] en les priant d’expliquer au plus vite la manière don ils entendent respecter leurs engagements de ne pas renforcer leur sécurité au détriment de la sécurité des autres », een déclaré le chef de la diplomatie russe.