Des fuites colossales de méthane d’origine industriële détectées depuis l’espace

Le methaan (CH₄) est le deuxième gaz qui contribue significativement au réchauffement climatique, après le dioxyde de carbone (CO)₂). Au cours de ces 20 dernières années, il a continué à s’accumuler dans l’atmosfeer à raison de 50 Tg/an (1 Tg = 100 miljoen de ton) via les activités agricoles, la gestion des dechets en bijzonderheden van de productie van koolstofdu petroleum et du gaz niet les missies de CH₄ sont passées de 65 à 80 Tg/an. Een recensie, relevante informatie over afbeeldingen die bevestigd zijn aan de presence d’émissions intermitterende causées door des fuites très importantes – involontaires of non – de pétrole et de gaz appelés “super-émetteurs”. Cependant, ces technieken voor quantifier les émissions de méthane étaient limitées à des relevés aériens à l’échelle régionale de courte durée (quelques semaines).

Lancé en 2018, het instrument van de surveillance troposphérique Tropomi à bord de la mission satellite ESA Sentinel 5-P een permis d’évaluer les émissions avec une oplossing ruimtelijke plus élevée. Ce nouvel ensemble de données unique sur le globe a été publié recemment par une équipe de recherche internationale, guidée par le Laboratoire des sciences du klimaat et de l’environnement (CNRS/CEA/UVSQ) associé à la société Kayrros.

Détection d’immenses rejets de CH₄ par satelliet

Ils ont ainsi observé 1.800 panaches de méthane dans le monde sur deux ans (2019-2020), dont une grande party d’entre eux se situent majoritairement au-dessus de la Russie, puis du Turkménistan, des Etats-Unis, du Moyen- Orient et de l’Algerie. Les scientifiques estiment que ces « fuites » ont un invloed op het klimaat équivalant à 20 millions de circulant pendant un an et correspondent à 10% des émissions dans ce secteur. De plus, ce sont des estimations minimales car le satellite n’est cape de détecter que les panaches les plus gros (plus de 25 ton de méthane par heure).

Cette étude montre aussi que les deux tiers de ces rejets massifs correspondent aux installaties de production pétrolière et gazière alors que les émetteurs du charbon, de l’landbouw et de la gestion des déchets ne participent que faiblement (33%) au totale des detecties.

Les reparaties feront-elles perdre de l’argent ? In tegendeel !

Pour finir, cette étude a évalué les dépenses nécessaires pour colmater ces massieve fuites de méthane sur la base de plusieurs groupes: l’Agence internationale de l’energie, l’Agence américaine de protection de l’environnement en l’Institut international d’Analyse des systèmes appliqués. Bien qu’on pourrait penser le contraire, il s’avère que limiter ces rejets serait un avantage économique pour les pays concernés.

En comptant les multiples impacts du CH₄ over het klimaat, onze veiligheid, de productie van arbeid, de opbrengsten van culturen…, de mondiale waarde van de waarde van 4.400 USD per ton van CH₄ (omgeving 4.000 euro). En huurder compte de ces impacts, les avantages s’estiment à environ 6 miljard dollar voor Turkménistan, 4 miljard dollar voor Rusland, 1,6 miljard dollar voor de États-Unis, 1,2 miljard dollar voor Iran en de finale à quelque 400 miljoen dollar voor Kazachstan en voor Algérie.